OCTOBRE

Publié le par Angela

 

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Nous sommes pleins de choses qui nous jettent au dehors.

 

Pascal.

 

En matière de révolte, aucun de nous ne doit avoir besoin d’ancêtres.

 

André Breton.

 

Dans le mouvement et le changement constant réside la tranquillité,

dans la tranquillité le mouvement et le changement.

 

Okasaki.

 

Celui qui a peur de demander est honteux d’apprendre.

 

Proverbe danois.

 

Soyez votre propre lampe, votre île, votre refuge.

Ne voyez pas de refuge hors de vous-même.

 

Le Bouddha.

 

Celui qui se connaît vraiment n’aura aucun doute

sur son essence immortelle.

 

Saint Antoine.

 

Dire que l’homme est un composé de force et de faiblesse,

de lumière et d’aveuglement,

de petitesse et de grandeur,

ce n’est pas lui faire un procès, c’est le définir.

 

Denis Diderot.

 

La clarté de la lune dépend de l’ombre des pins.

 

Koan Zen.

 

L’homme est aussi un microbe têtu.

 

Marcel Pagnol.

 

Tout change continuellement.

Vous devez l’accepter et agir en conséquence.

 

Swami Prajnanpad.

 

Le premier ennemi de l’homme de connaissance est : la peur.

 

Carlos Castaneda

 

Il est facile d’être sage rétrospectivement.

 

Alan Watts

 

Sachez écouter, et soyez sûr que le silence

produit souvent le même effet que la science.

 

Bonaparte.

 

L’infini fait autant de peur à notre vue qu’il plaît à notre âme.

 

Mme de Staël.

 

L’homme est le miroir de l’homme.

 

Proverbe turc.

 

Je n’ai pas de talent. Je fais de l’esprit prompt mon talent.

Je n’ai pas d’ennemi. Je fais de l’irresponsabilité mon ennemi

 

Prière de samouraï.

 

Le vivant, issu du Vivant, ne connaitra ni crainte ni mort

parce qu’il est dit :

celui qui se connaît lui-même, le monde ne peut le contenir.

 

Evangile de Thomas.

 

Apparition et disparition n’existent qu’à la surface,

comme des vagues sur la mer.

 

Rabindranath Tagore.

 

La maladie du corps est la guérison de l’âme.

 

Proverbe basque.

 

Je ne cherche pas, je trouve.

 

Pablo Picasso.

 

Comment définir la méditation ?

Comme la sagesse à la recherche de la sagesse.

 

Suzuki Roshi.

 

Celui qui se libère, loin d’être incapable de jouer le jeu,

le jeu encore mieux car il voit la vie comme un jeu.

 

Alan Watts.

 

Dieu ne saurait être déifié sans ridicule. Il aime être vécu.

 

Jean Cocteau.

 

Admire les choses qui sont devant toi.

 

Clément d’Alexandrie.

 

L’immuable n’habite pas vos murs, mais en nous,

hommes lents, hommes continuels.

 

Victor Segalen.

 

« Dieu en vain tu ne jureras » est la seule courtoisie valable ;

il est ridicule de cracher sur son miroir.

 

Alfred Jarry.

 

Le diable est froid, même comme amoureux, mais il n’est pas laid,

car il peut prendre la forme qui lui plaît.

 

Henri Heine.

 

Triple est la porte de l’enfer, destructrice de l’âme :

passion, haine, convoitise.

 

La Bhâghavâd Gitâ.

 

Le sens et la fin d’un problème semblent résider non pas dans la solution,

mais dans la recherche incessante qu’il exige de nous.

 

C. G. Jung.

 

Celui qui après avoir été négligent, devient vigilant,

illumine la terre comme la lune émergeant des nuages.

 

Le Bouddha.

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